20 janvier 2014

SWIZ participe à OPPOSITION


Adepte du spray, de l'acrylique et de la scie-sauteuse, entre la photographie aérienne et le circuit électronique, les expérimentations graphiques amènent l’artiste SWIZ à développer un style classé « Futuriste » 

Qu’il parcourt les rues de la capitale ou les « no man’s land », tout lui est prétexte pour transformer ces espaces en aires de jeux. Il fera notamment la couverture de l’ouvrage « Hors du temps 2 » qui illustre ce mouvement.

Il fera également parti de l’aventure « Mausolée » : un supermarché abandonné dans le nord de Paris avec une multitude de murs vierges répartis sur quatre étages.

Swiz laisse son emprunte sur les murs comme un « Mot de passe » lui permettant ainsi d’accéder au niveau suivant.

Le travail en atelier renforce son goût prononcé pour l’écriture, c’est en se séparant des contours que Swiz décide de déshabiller les lettres de ses « effets de style » pour revenir à la simplicité des lettres initiales. 

Il réinitialise son approche et joue avec le sens des mots comme il joue avec les règles typographiques.

Les lettres deviennent des formes qui se divisent, se chevauchent.

Est-ce le désordre des lieux à l’abandon qui lui ont finalement insufflé ce besoin d’organisation, ou plutôt l’envie de donner du sens à son travail dans la logique d’une mathématique des formes, voire d’une mathématique des mots?

Faisant echo au « Bauhaus », ses lettres se juxtaposent de façon ludique, Swiz vient orchestrer ses compositions sur des modules en bois aux découpes futuristes dans une harmonie colorée à la manière d’un origami . 

La géométrie de son support serait alors la conséquence de ses errances .

Toutes ces salles si souvent investies par l’artiste, telle des boites qui s’ouvrent et se déplient le positionnent alors dans un jeu de « géolocalisation » : JE SUIS ICI.

Et comme un jeu astucieux de facettes il suffit de s’attarder un peu sur une oeuvre pour trouver la combinaison et décrypter son message."
Florent PERRIGAULT



Swiz honorera le vernissage de sa présence.

OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures


Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50

15 janvier 2014

FENX participe à OPPOSITION

Fenx est né en 1974.
Il vit et travaille à Paris.


Fenx a été touché par le virus du graffiti à la fin des années 80. Il ne s'en est jamais remis. Partisan du graffiti authentique (celui qui se pratique dans la rue et non pas au fond des caves) il a toujours cherché à remonter à la source et rencontrer les pionniers de la discipline, partant du principe qu'on se lasse de tout excepté d'apprendre. Ainsi, durant son parcours pictural, il fréquenté et peint avec des artistes de renommée mondiale et dont la plupart sont aujourd'hui des amis : Futura, Taki 183, Quik, Crash, Jonone… Parallèlement, il s'est forgé de solides connaissances en histoire de l'art et plus particulièrement contemporain.




C'est donc tout naturellement qu'en 2002, il décide de franchir le cap de l'atelier et réalise ses premières toiles. Dans un style très personnel, il réussit à produire des œuvres où le graffiti se mélange joyeusement avec l'imagerie traditionnelle de ses maîtres à peindre (Wesselmann, Wharol, Liechtenstein...), récrivant dans un mashup pictural des souvenirs de jeunesse.
En l'espace de dix ans seulement, Fenx est devenue une des figures de l'art contemporain urbain.


Fenx honorera le vernissage de sa présence.

OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures


Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50

14 janvier 2014

CT participe à OPPOSITION

« La simplicité n'est pas un but dans l'art, mais on arrive à la simplicité malgré soi en s'approchant du sens réel des choses. » (Constantin Brancusi)



CT est un des artistes émergents de l'art urbain qui adoptent une approche minimaliste de la peinture. Né dans une petite ville italienne au milieu des années 80, Matteo a comme tous les gamins été interpellé par la dynamique de l'écriture dans le street art. Il s’est nourri d’influences multiples sans se laisser enfermer.



Les lettres, il les prend comme une matière, des éléments abstraits dont il tire les formes pures, tout à la fois strictes et voluptueuses. « CT », deux lettres sans cesse réinventées, avec des couleurs qu’il travaille à la bombe ou à l'acrylique, dans la rue comme sur des toiles ; deux lettres aux lignes pures mais aux formes percutantes, deux lettres qui enveloppent le support, s’imbriquent l’une dans l’autre, parfois s’abandonnent jusqu'à ne plus former qu'une seule composition.



Le choix des lieux d'intervention est toujours minutieux. De prime abord la plénitude et la précision des tracés de CT ne semblent pas pouvoir s'adapter à ces sites de chaos. Pourtant l'osmose parfaite est toujours au rendez-vous, dégageant un sentiment réel de calme et de sérénité.



CT honorera le vernissage de sa présence.

OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures


Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50

13 janvier 2014

Gérard ZLOTYKAMIEN participe à OPPOSITION



Les gens sont toujours surpris d'apprendre que le premier artiste urbain au monde est français.
Quoi? Non, pas croyable!

Il a 70 ans, il vit et travaille en région parisienne : Gérard ZLOTYKAMIEN.
En 1963, quand Zloty commence à peindre dans la rue, les graffeurs new-yorkais sont encore en couche culotte (ou presque) et personne ne s'est encore essayé à ce qui deviendra l'art urbain.
Gérard Zlotykamien est le premier!!!

Ci-après la préface de Stéphanie LEMOINE (journaliste et critique d'art) pour le catalogue de l'exposition "Éphémères" à la galerie Mathgoth en Octobre 2012.



Un saut dans le vide

Si les noms de Bansky, JR ou Invader sont désormais familiers au grand public, celui de Gérard Zlotykamien reste confidentiel hors du cercle étroit des amateurs d’art urbain. L’homme en est pourtant l’un des pionniers : dès 1963, après une participation remarquée à la 3e Biennale de Paris (la salle où il expose avec Arroyo, Pinoncelli, Camacho, Biass et Brusse est censurée), il délaisse les circuits institutionnels de l’art pour tracer dans les rues et terrains vagues, sur les chantiers et palissades des figures vacillantes à la poire à lavement et à la bombe aérosol. A l’époque, le writing new-yorkais est encore dans les limbes, et ni Pignon-Ernest ni Buren n’ont commencé à sonder les qualités plastiques et la profondeur historique de l’espace urbain.




L’amnésie qui entoure le travail de Zlotykamien n’en étonne que davantage. Depuis une petite dizaine d’années, la scène street art connaît un début de reconnaissance institutionnelle et pourrait même avoir trouvé sa place sur le marché. Pourtant, dans les galeries, les salles des ventes et articles de presse, nulle trace ou presque de Zlotykamien. Son « actualité » des dix dernières années tient en peu de mots : une participation à la rétrospective Né dans la rue en 2009 à la Fondation Cartier et la réalisation d’une affiche pour le M.U.R.



Cette éclipse tient d’abord à la radicalité de l’artiste. Que ses familiers et ses pairs l’appellent affectueusement Zloty [1] ne change rien à l’affaire : l’homme n’a jamais fait aucune concession aux nécessités du commerce. Ceux qui le connaissent bien parlent de rigueur et d’intégrité. Lui, dit : « Je ne fabrique pas de fausse monnaie. Je ne suis pas une machine à multiplier. » Au contraire, Zlotykamien semble s’être acharné à déjouer toute tentation de thésauriser sur son travail. Les œuvres qu’il a peintes dans les rues échappent par nature au marché : conçues dans l’illégalité et situées le plus souvent au sein d’espaces en mutation (friches, délaissés, terrains vagues, bâtiments promis à la démolition…), elles sont vouées à disparaître, d’où leur nom d’éphémères. Quant à celles qu’il a créées dans son atelier à Argenteuil – comme chez beaucoup d’artistes dits urbains, son travail ne se résume pas à la rue, et se déploie sur tous types de supports et d’espaces – il en subsiste une poignée. Le reste a été brûlé, déchiré ou jeté.





Pour justifier cette manie de la disparition, on pourrait invoquer des raisons d’ordre biographique : d’origine juive et polonaise, Gérard Zlotykamien a vu nombre des siens périr dans les camps – brûlés, jetés ou effacés, pas moins fragiles et éphémères que les figures qu’il a tracées toute sa vie sur les murs. En 1979, lors du procès instruit contre l’artiste par la ville d’Ulm où il est allé peindre les murs de la prison ou de l’université, il a contre ses juges cette réplique cinglante : « Si vous me rendez les miens, j’effacerai vos murs. » Pourtant, Zloty place ailleurs, juste à côté, l’origine de ses figures fantomatiques : dans l’explosion atomique d’Hiroshima et les ombres humaines que le souffle a jetées sur les murs. Il raconte que c’est en voyant les photographies de ces ombres que lui sont venues l’idée et la forme des éphémères…
Mais chez Zlotykamien, le vide est aussi une condition de l’acte créateur. « Pour faire quelque chose, note-t-il, j’ai besoin qu’il n’y ait rien. J’ai besoin de sentir le vide pour pouvoir le remplir. » Sans doute faut-il voir ici l’héritage d’Yves Klein, que l’artiste a bien connu lorsqu’il était adolescent. Les cours de judo dispensés par l’homme aux monochromes bleus sont en effet les seuls cours de peinture que Zloty ait jamais pris [2]. Or, Klein est d’abord le peintre de l’espace, et pour en donner la représentation la plus exacte possible, il convoque le vide, l’expose en 1958 (seuls les murs extérieurs de la galerie sont peints) et plonge dedans deux ans plus tard au cours d’une mise en scène photographique justement intitulée « le saut dans le vide » : « pour peindre l’espace, explique-t-il, je me dois de me rendre sur place, dans cet espace même ». Mais l’espace dans lequel plonge l’artiste dans le photomontage de 1960 n’est pas tout à fait le vide. C’est une rue déserte d’un quartier résidentiel à Fontenay aux roses. Chez Klein, comme chez Buren quelques années plus tard, faire l’espace la question plastique fondamentale revient in fine à sortir dans la rue. Zlotykamien retiendra la leçon…





Du maître, il a aussi appris à pratiquer la peinture comme un art martial : avec concentration, intériorité et précision. Lorsqu’il travaille, l’artiste se veut semblable à ce judoka japonais fait prisonnier en 1945, et qui continuait à s’entraîner contre un arbre ; semblable encore à Szpilman, le pianiste de Polanski, qui jouait sans frapper les touches de son instrument. Lui importe moins le motif que le processus qui conduit à l’élaboration du geste le plus précis, le plus indiscutable possible. En regard de ce geste, l’oeuvre créée est secondaire. Elle pourrait même à la rigueur ne pas exister, que Zlotykamien serait encore peintre. « J’arrive à ne pas peindre », dit-il d’ailleurs, et il faut voir dans cette sortie malicieuse le triomphe d’un homme qui a pour ambition de peindre partout, quoiqu’il arrive, « même en prison ». Son apport à la genèse de l’art urbain est sans doute là : de même que plus tard, le graffiti s’affirmera d’abord comme une aventure et un jeu, comme une façon d’explorer la ville et d’en nier toutes les frontières, bref, comme un acte gratuit dont le tag ou la pièce seraient en quelque sorte la trace, de même, Zloty s’est attaché à saisir ce qu’il y a dans la peinture de plus fondamental et de plus immatériel : le geste. 


Stéphanie LEMOINE
(Journaliste et critique d'art)

[1] Le zloty est l’unité monétaire de la Pologne, pays dont est originaire la famille de Zlotykamien [2] Attachée de presse chez Grasset, la mère de Zlotykamien découvre Yves Klein dont sa maison d’édition publie en 1954 Les fondements du judo. C’est elle qui enjoint son fils à suivre les cours de judo. Un jour, Klein aurait dit au jeune homme : “si tu veux être un grand peintre, tu devras pratiquer le judo jusqu’à 45 ans.”






OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures


Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50

10 janvier 2014

Anders GJENNESTAD participe à OPPOSITION


La Norvège est une terre de Vikings mais certainement aussi une terre de pochoiristes. Un peu à la manière de BANKSY, PØBEL et DOLK ont choisi de manier l'humour et la raillerie, de telle sorte qu'on confond parfois les travaux des deux norvégiens avec ceux de leur modèle britannique.




Anders GJENESTAD qui œuvre dans la rue sous le pseudo de STRØK a un style beaucoup plus personnel, un style léché qui s'intègre parfaitement à l'espace urbain pour dialoguer avec le lieu.
Ses pochoirs aux nombreuses couches offrent au final des détails complexes, et le jeu des ombres est d'une telle justesse que les peintures d'Anders finissent par flirter avec l'hyperréalisme.



Les deux œuvres que Anders GJENNESTAD a réalisé pour l'exposition OPPOSITION seront les premières pièces de l'artiste exposées en France. 
Anders GJENNESTAD honorera le vernissage de sa présence.



OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION

Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures


Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50
galerie@mathgoth.com

9 janvier 2014

Jef Aérosol participe à OPPOSITION

Tours 1982, Jean-François Perroy a 25 ans lorsqu'il réalise son premier pochoir . Il le signe simplement du pseudo « Jef ». Ce n'est que par la suite qu'il rajoutera (un peu par hasard) « Aérosol » ainsi que sa fameuse flèche rouge, véritable maque de fabrique devenue au fil du temps sa seconde signature.




Le travail pictural de cet ancien enseignant s'est toujours focalisé sur le portrait, avec d'un côté les personnalités (souvent issues du Rock'n Roll dont il est fan absolu) et de l'autre les anonymes de la rue.




D'Orléans à la Grande Muraille de Chine, Jef a peint les murs des quatre coins du monde et sa renommée dépasse aujourd'hui largement les frontières de l'hexagone. D'ailleurs, bon nombre d'artistes revendique haut et fort son influence.



Jef Aérosol nous fait l'honneur de participer à l'exposition OPPOSITION.

OPPOSITION, avec :
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures

Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50

galerie@mathgoth.com

8 janvier 2014

Jean FAUCHEUR participe à OPPOSITION


Quand en 1985 il travaille à New York chez le célèbre galeriste Tony Shafrazy, fréquentant assidûment Keith Haring, Futura 2000, Kenny Scharf ou Andy Wharol, Jean Faucheur aurait pu se contenter de suivre le sillon tout tracé qui s'ouvrait à lui. Mais pour arriver où? Quelque part où les paillettes et les mondanités foisonnent. Mais c'était pas pour lui.






Faucheur n'est pas un artiste comme les autres, il aime brouiller les pistes. Son travail est une perpétuelle recherche, jamais dans la facilité. Quand il a fini d'explorer une piste, il change brusquement de cap pour tenter de découvrir autre chose. Dessin, sculpture, photo, vidéo, peinture il touche à tout. Et avec talent!
Le style de Jean Faucheur est multiple, tellement varié qu'il n'est pas toujours identifiable au premier coup d’œil, ce qui a le don de bousculer et d'irriter le public. Jusqu'au collectionneur qui aime se rassurer en sachant identifier qui est qui et qui fait quoi.

 








Jean Faucheur participe à l'exposition OPPOSITION et honorera le vernissage de sa présence.



OPPOSITION, avec : 
Morten Andersen (Danemark), CT (Italie), Jean Faucheur (France), Fenx (France), Anders Gjennestad (Norvège), Jace (France), Jef Aérosol (France), Swiz (France), Gérard Zlotykamien (France).


Infos pratiques :
OPPOSITION
Galerie MathGoth
34, rue Hélène Brion - 75013 Paris
(metro Bibliothèque François Mitterrand)
Du 24 janvier au 22 février 2014
Vernissage le vendredi 24 janvier à partir de 18 heures

Contact Presse :
Mathilde Jourdain 06 63 01 41 50